14T Lycée Pasteur de Besançon

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Cote/Cotes extrêmes

14T50-319

Date

1882-1989

Histoire de la conservation

A l'exception de quelques pièces comptables (livres, caisse), aucune élimination n'a été effectuée lors du classement dans ce fonds qui ne nous est pas intégralement parvenu. Des pertes, qu'il est difficile d'évaluer, se sont produites au cours de la dernière guerre ; les caisses d'archives qui devaient être évacuées à Montauban en 1940, étaient restées en gare de Besançon où elles subirent divers dommages (une mention du registre 14T281 signale ainsi la disparition du registre des traitements de 1933-1934). En outre, des tris postérieurs sévères ont été manifestement effectués dans la correspondance et les dossiers du personnel, qui ne subsistent qu'à l'état d'épaves ; ont seules été conservées les pièces qui semblaient les plus intéressantes.

Bibliographie

Baillard Josiane, l'enseignement secondaire féminin en France 1865-1887. Un exemple d'application de la loi Camille Sée : le lycée de Besançon 1882-1902, 1970 (mémoire de maîtrise).
Cinquantenaire du lycée de Jeunes Filles de Besançon (16 octobre 1882-1er octobre 1933), Cahors, 42p.
Lycée de jeunes filles de Besançon, s.l.n.d. (début du XXème siècle), 16 p.
Lycée Pasteur (1882-1982). 100 ans de jeunesse, Besançon, 1983, 146 p.
Saint-Blanquat (A.M. de), Lycée Pasteur, Besançon, Levallois-Paris, 1936, 12 p.

Notes

Cet inventaire est moissonné selon le protocole OAI-PMH par les Archives de France pour le portail francearchives.fr

Cote/Cotes extrêmes

14T50-99

Date

1882-1982

Photographies

Cote/Cotes extrêmes

14T99

Date

1907-1982

Présentation du contenu

La première bachelière (s.d.), l’hôtel Belin qui abrita le lycée de 1882 à 1905 (1982), une partie du plan relief de Besançon, (avec le couvent des Cordeliers à l’emplacement de l’actuel lycée) et demande de reconstruction du mur de clôture du couvent en 1789, l’usine Wey rachetée par le lycée (s.d), les inondations dans les rues à proximité du lycée (1910), le lycée en négatif (1907), le grand salon, la salle de sciences, le réfectoire et le dortoir (début XXème siècle), les pensionnats libres de la rue Charles Nodier et de la rue Mégevand (s.d.), la communion solennelle à la chapelle (1938 ?), l’internat (1982).